Alors que les prix de l’immobilier à Paris viennent de passer sous la barre symbolique des 10 000 euros/m2, le marché boulonnais connaît lui aussi un fléchissement. Le volume des ventes est en baisse malgré le nombre de biens disponibles.
Cette tendance se poursuivra en 2024 selon la Fédération Nationale de l’Immobilier (voir étude de conjoncture : https://www.fnaim.fr/4302-marche-immobilier-septembre-2023.htm)
La conjoncture nationale, marquée par l’inflation et la hausse des taux d’intérêts, explique en grande partie ce ralentissement qui aura des conséquences directes sur nos recettes fiscales locales.
Nous avons les moyens de limiter l’impact par de nouveaux grands projets qui, demain, préserveront l’attractivité de notre ville.